
Loner Deer nous plonge dans un endroit paisible avec son nouveau single « Columbia Sweater », extrait de son EP « Great Mullein » prévu pour octobre 2025 !
« Columbia Sweater » invite à changer d’air, quitter le vacarme de la ville pour l’apaisement de la nature, avec le chant des feuilles et des oiseaux pour symphonie. Prendre de la hauteur, se taire devant un panorama éblouissant, rire en escaladant les grumes, s’assoir au bord d’un lac immobile, oser briser le quotidien pour trouver une place au calme, quelque part, où tout le reste semble loin.
LONER DEER
Loner Deer est une âme vagabonde, un voyageur solitaire, dont la musique trace les contours d’un monde fait de mélancolie et de lumière. Porté par une voix qui murmure autant qu’elle déchire, il sculpte des mélodies où se croisent les vents du folk et les ombres du country, tissant des histoires de cœurs égarés et d’horizons lointains. Avec authenticité, Loner Deer chante l’écho des âmes tourmentées, les départs sans retour, les feux de camp oubliés, les relations humaines et les sentiments profonds, dans un univers de wilderness.
Discrètement, sa musique séduit les auditeurs des quatre coins du monde, cumulant plus de 50 millions d’écoutes depuis 2020. Ses concerts offrent des performances intimistes et chaleureuses, et l’on retrouve sur scène un univers brut enveloppé d’humilité. Sa musique est une histoire d’émotions, elle se ressent plus qu’elle ne s’écoute. Elle parle aux gens, touche les cœurs, provoque sourires et larmes.
Son univers est un subtil mélange d’authenticité et de sensibilité, influencé par Eddie Vedder, Jonah Kagen, Hazlett, Ray LaMontagne ou encore The White Buffalo. Dans sa musique, chaque accord est un souvenir, chaque mot une empreinte laissée sur le sentier d’un passé qui danse avec l’avenir. Ses chansons sont des fenêtres entrouvertes sur son univers : un refuge où l’intime devient universel, où les mélodies s’étirent comme le crépuscule sur un lac endormi, où l’on prend du recul autant qu’on se laisse porter.
Avec humilité, il nous rappelle que la beauté se cache souvent dans l’ombre des choses simples. Finalement, Loner Deer ne cherche pas à éblouir, il préfère envoûter. Et dans le silence après la dernière note, il restera ce sentiment doux-amer, cette impression d’avoir entrevu un instant de vérité, fragile et éphémère.