Ayant constaté que les clichés sexistes et genrés demeurent malgré des mesures « d’affichage » et que les personnes impliquées ou nouvellement intégrées ne sont généralement pas considérées comme des égales, Florence Collin évolue dans ce milieu amusée et surtout consternée de la maladresse assumée ou structurelle qui lui est renvoyé dans ses activités quotidiennes. Avec des exemples issus de son parcours et celui des participant.e.s, elle propose de débattre et construire des réactions concrètes à des situations de « sexisme ordinaire ».